Randonnée pédestre aux 7 Laux (2184 m)
Belledonne - Isère

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Le lac du Cos et le col des 7 Laux

Date de la sortie : Samedi 22 Aout 2009
Participants : Colette, Séverine, Suzanne, Claude et André
Lieu de départ : Fond de France (1090 m) - Isère.
Accès : Allevard, Pinsot, Fond de France (1090 m) - Isère
Heure de départ(parking) :
7h15 Heure de retour(parking) : 17h00
Altitude départ :
1090 m Altitude arrivée : 2184 m Dénivellé : 1200 m
Difficulté :
Pas de difficulté majeure. Longue randonnée.

C
artes
IGN :
IGN carte de randonnée n° 3334 ET au 1/25 000

Equipement : Randonnée.
Météo : Du soleil et des nuages.
Remarques : Superbe rando, à ne pas manquer quand on est dans la région. Attention c'est long, on peut coucher au refuge et faire cette course en 2 jours, on pourra alors monter vers le col de la Vache ou le pic de la Belle Etoile. Partir tôt.

Ce matin, nous avons choisi de monter aux 7 Laux malgré une météo hésitante. Nous partons du parking (1090 m) situé près de l'hôtel des 7 Laux à Fond de France et empruntons le chemin qui nous améne rapidement à un pont qui franchit le torrent du Pleynet. Nous entamons une longue et raide montée dans la forêt qui nous permet d'atteindre (1540 m, 1h05) une bifurcation qui donne le choix entre 2 itinéraires: celui des "deux ruisseaux" et celui du chalet du Gleysin que nous choisissons. En une dizaine de minutes, nous rejoignons le chalet du Gleysin (1605 m, 1h15) pour une pause bien méritée, le ciel bleu nous semble promis aux lacs. Une longue traversée nous améne,sous le Roc du Pendet, au pied de la fameuse montée du "Cul de la vieille" (1850 m, 1h30) qui, alors que les nuages nous enveloppent, donne accés au premier des 7 laux, le lac Noir (2090 m, 2h30) que nous atteignons dans le brouillard.

Au chalet du Gleysin de la Ferrière

Dans la traversée au-dessus chalet du Gleysin Dans le brouillard et la montée du "cul de la vieille" Campanule
Petite pause au lac Noir avant de repartir vers le lac Carré en contournant le lac Noir par sa gauche puis en passant près des locaux EDF. Le lac Carré est en vue, nous le longeons par sa gauche et nous retrouvons rapidement au lac Cottepens (2130 m, 2h45). Nous laissons le refuge à notre droite et continuons vers le lac de la Motte.

Près du lac Noir

Le lac de Cottepens et le refuge des 7 Laux Le lac Cottepens En longeant le lac Cottepens
Après avoir emprunté le passage qui sépare le lac de la Motte du lac Cottepens, nous continuons à longer ce lac et après avoir franchi le torrent qui descend du lac Blanc et retrouvé le soleil et le ciel bleu, nous nous dirigeons vers le lac du Cos, nous passons sous son déversoir et nous remontons sur le coté droit de ce magnifique lac du Cos.

Le lac Cottepens

Le lac Cottepens et le refuge au fond Le lac du Cos et le col des 7 laux Le lac du Cos
Après avoir longé le lac du Cos, nous passons près d'un joli chalet d'alpage au pied de la combe qui conduit au col de la Vache et au pic de la Belle Etoile. Nous atteignons ainsi le col des 7 laux (2184 m, 3h55) qui donne accès à la vallée de l'Eau d'Olle et aux 2 derniers lacs des 7 laux, le lac de la Corne et le lac de la Sagne.

Le lac du Cos

Le chalet d'alpage du col des 7 Laux Le lac du Cos vu du col des 7 Laux Petit lac sous le lac du Cos
Après une petite pause au col nous entamons la descente vers les 2 derniers lacs, nous n'atteindrons que le lac de la Corne, une partie de la troupe (j'ai les noms) souhaitant en rester là.

Le lac de la Corne

Petit lac au-dessus du lac de la Corne Le lac de la Corne Sous le col des 7 Laux
C'est tout près du col où nous sommes remontés que nous nous installons pour un pique-nique bien mérité. Le vent est là et le fond de l'air est frais, nous ne trainons pas trop et entamons la descente.

Pause casse-croute au col des 7 Laux

Le lac du Cos Le lac du Cos Le lac de Cottepens et le refuge des 7 Laux
Une nouvelle fois, nous avons trouvé cette descente très longue, bien que hachée par les "pauses framboise" de Colette. Près de l'embranchement des 2 ruisseaux nous avons croisé quelques marmottes qui se doraient au soleil.

Couvert sur les lacs !

Gourmandise pour Colette, les framboisses Une marmotte Une autre marmotte
Une balade toujours aussi somptueuse mais qui se mérite.