Ski de montagne au Pic Blanc du Galibier (2955 m)
Oisans - Hautes-Alpes

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Montée en direction du Pic Blanc du Galibier

Compte rendu et photos : Pierre COMBAZ

Date de la sortie : Samedi 25 mars 2006
Participants : Nicolas - Jean-Claude – Oswald – Laurent – Philippe – Pierre
Lieu de départ : Col du Lautaret – Tunnel du Rif Blanc (1930 m)- Hautes-Alpes.
Accès : Le Cheylas – Grenoble – Vizille – Le Bourg d’Oisans – Col du Lautaret - Tunnel du Rif Blanc (1930 m)- Hautes-Alpes.
Heure de départ(parking): 7h50    Heure de retour(parking): 13H20.
Altitude départ : 1930 m      Altitude arrivée : 2955 m      Dénivellé : 1000 m
Cartes IGN : IGN carte de randonnée n° 3435 ET au 1/25 000
Equipement : Ski de montagne
Météo : Parfaite avec du vent.
Adresses Web utiles :
Remarques : R.A.S, sommet facilement accessible aux débutants à ski de randonnée.

Ce samedi il fallait aller au sud pour trouver un coin de ciel bleu. Au départ du Cheylas à 5h30 il pleut mais nous y croyons, motivés par ces nombreux week-end inactifs.
Un ciel limpide nous accueille au Lautaret, fidèle à sa réputation. Le véhicule est garé au tunnel du Rif Blanc. Les skis sont bien sur chaussés de suite.
Après quelques minutes de progression je sens que ce sera une journée très difficile, l’inactivité de plusieurs semaines va se payer cash. Nous faisons la jonction avec un groupe Suisse encadré par un guide et suivons leurs traces ; l’enneigement est excellent et cette nuit une bonne couche s’est encore accumulée mais soufflée, dommage.
La traversée de la route du Galibier est l’occasion d’une pause bienvenue, surtout pour moi.
Il reste encore une bonne partie d’itinéraire à absorber et je trouve que ce sommet se rapproche plus que lentement, le plaisir de la montée se transforme en progression laborieuse et saccadée, qu’est ce que c’est dur la rando à ski !

Départ de la route du Lautaret

Nuages et soleil Vers le Pic Blanc Pause fraicheur
Tant bien que mal la pente terminale est à portée de spatule et finalement assez vite avalée. Oswald, Philippe et Jean-Claude me précèdent au sommet alors que Nicolas et Laurent font la pause au pied de cette pente.
Finalement nous les rejoignons pour casser la croûte et reprendre quelques forces. Le paysage est vraiment d’une beauté à couper le souffle, cela fait un peu oublier le mal de cuisses qui se rappelleront à mon bon souvenir durant la descente. La neige travaille vite à cette époque et c’est dans une palette de neiges très variées que nous atteignons notre point de départ.

Vue sur le Briançonnais

Au sommet Ivresse des cimes sur fond de Meije Quiétude du sommet
OUF ! c’est fini mais quelle belle journée ! ! !